1-Définir précisément la mission en amont, le contexte dans lequel elle a lieu, l’équipe dans laquelle le freelance va s’intégrer, les objectifs qu’il devra atteindre. Le mieux est de se poser la question suivante : qu’est-ce qui fera que je pourrais in fine estimer que cette mission est une réussite ?
2-Prendre du temps pour on-boarder le freelance, lui donner les clés pour comprendre l’entreprise, son organisation, le former comme on formerait un salarié, sur les produits, les services… idéalement faire un welcome kit pour regrouper tous les éléments qui favorisent son intégration.
3-Faire un suivi régulier, tout au long de la mission ; interroger les équipes qui interagissent avec le freelance, interroger le freelance pour remonter des points de friction et d’amélioration. Être dans une démarche d’optimisation continue comme avec un salarié.
4-Le payer à sa juste valeur, en tenant compte de ses compétences, de son expérience, de sa valeur sur le marché (exemple : un profil rare se paye), de la nature du travail qui lui est confié et de la durée de la mission.
5-Trouver le bon rythme de travail (plein temps ou temps partiel), et le bon équilibre entre présentiel et distanciel, en fonction de l’organisation de l’équipe dans laquelle il évolue et des tâches qui lui sont confiées.
6-Respecter la fiche de poste et la feuille de route : le contenu de la mission du freelance doit être fidèle à ce qui a été décidé au départ ; bien entendu, tous les freelances ont la capacité de s’adapter en fonction des circonstances, c’est même une de leur force.
7-Etre dans un posture d’écoute et d’ouverture vis à vis du freelance, qui vient de l’extérieur, avec une forme d’objectivité ; c’est ainsi que vous profiterez au mieux de ses conseils et de ses apports.
📷 Unsplash – Jason Goodman